Partie 1 – Premiers pas en terres Scandinave

Norvege

 

Si il y a une chose que j’aime par-dessus tout dans se voyage, se sont les premiers pas dans un nouveau pays. Nous arrivons ainsi, munis simplement de nos sacs à dos, nos chaussures usées et de notre faible niveau d’anglais. Tous nous est alors inconnu ; la langue, les paysages, les traditions, l’histoire, les réactions et comportement des gens, la nourriture, les lois…Tous cela nous arrive en même temps.

Pour ma part, il est très important que ce temps d’adaptation à cette nouvelle culture se doit d’être ressenti le plus lentement possible, au fur et à mesure de la marche et des rencontres que l’on fait. Et pour cela, quoi de mieux que la marche à pied me diriez-vous !

Nous étions donc enfin arrivé en Scandinavie. Il est marrant de se dire que maintenant, le Cap Nord c’est plus que : « 3000 kilomètres au nord ». Mais la route est encore très longue pour y arriver, surprises et imprévus seront sûrement au rendez vous.

Le matin du départ du bateau, nous nous réveillons à l’aube, tout enthousiaste de notre premier jour de marche en Norvège. Après avoir rassemblé l’ensemble de l’équipage sur le pont, nous prenons une photos tous ensemble. Les aux revoirs ont suivis, et quelques minutes après, nous marchions nos premières foulées en sol Norvégien, sous la pluie ! 

Olen, le village le plus proche n’était pas forcément très loin mais il faut savoir que la Norvège, étant le pays des Fjords, il nous fallait en contourner un pour atteindre notre premier village. Mais d’abord qu’est ce qu’un fjord ? En gros c’est une vallée ayant été érodée par un glacier, qui a été envahie par la mer depuis la retraite de la glace. L’aspect typique d’un fjord est celui d’un bras de mer étroit, aux côtés très escarpés, s’avançant dans les terres sur plusieurs kilomètres et parfois jusqu’à plusieurs dizaines de kilomètres. La côte ouest de la Norvège en est constellée, et il faut dire que pour deux Français comme nous, étant habitué à voir soit de la montagne, soit des mers et océans, la vue de ces fjords dont les montagnes et l’océan ne font plus qu’un, a eu vraiment un côté saisissant. 

C’est donc après dix kilomètres sous la pluie que nous arrivons à Olen. Avant toute chose, il nous fallait une carte du pays. Nous apercevons une boutique de souvenirs sur le côté de la route, ils devraient bien en avoir une… J’ai eu à peine le temps d’ouvrir la porte que la gérante, Unni Mari, nous fait rentrer à l’intérieur, et, étonné de nous voir équipé de la sorte, nous pose toutes sortes de questions sur notre voyage. Si bien que elle vient même à appeler un ami journaliste afin de nous faire passer dans le journal ! Waouh, une heure en Norvège et déjà dans les journaux ! Après quelques shooting photos et questions prises par Maria, nous repartons en emportant en cadeau une carte de la Norvège qu’elle nous a offert. 

La Norvège, étant un pays dont la forêt recouvre plus de un cinquième du territoire, les maisons se font presque exclusivement toutes en bois, ensuite peinte en couleurs vives telle que le rouge ou le jaune. Beaucoup d’entre elle on un toit végétal, et il n’est pas rare de croiser par moment une habitation dont des petits sapins de un mètre cinquante poussent sur la toiture.

C’est donc tout absorbé par ce nouveau style d’architecture que nous entrons à Olen. Première chose à faire, retirer la monnaie locale : Les couronnes (Nok). Un euro actuellement vaut 7,6 Nok. Qui dit nouveau pays, dit surtout nouveau régime alimentaire pour des pigeons telle que nous; Car dans notre principe de mode de vie qui est la marche, nous sommes obligés de nous nourrir selon plusieurs critères : Premièrement l’apport en énergie, ensuite le rapport poids/volume, puis le prix et enfin la durée de conservation. Et généralement on n’a pas forcément un choix immense de produits lorsque l’on veut appliquer ces critères suivants.

Nous nous sommes dirigé alors dans notre premier supermarché. Les prix sont certes vraiment cher, mais après une bonne analyse, nous arrivons à trouver quelques bonnes affaires et nouveautés telle que le browncheese (10 euros/ kg), une sorte de gruyère marron apparemment caramélisé vraiment trop bon, des sortes de crêpes à la patate qui peuvent remplacer le pain (2 euros les 12), les prix de ce dernier étant inabordables, le muesli ( 2 euros/ kg) qui est sans doute le meilleur plan nourriture de la Norvège, et aussi le Fiskpuiding ( 3 euros/kg) qui est une sorte de saucisson au poisson. Voila, vous avez sous vos yeux la quasi-totalité de nos futurs casse croûte !

Après avoir établi un itinéraire pour les prochains jours, nous quittons le village et prenons la route.

Nous marchons jusqu’au soir et pour tout dire, ce n’est pas les paysages qui ont manqués ; Que se soit au niveau forêt, fjords, montagnes, touts cela est réunis et se présente sous nos yeux à chaque tournants.

Nous passons un nouveau village, Etne, où nous décidons de nous y arrêter pour la nuit. Heureusement, pratiquement tous les Norvégiens parle la langue de Shakespeare, mais au bout de une heure de demandes et plusieurs refus, nous commençons à nous dire que cela va être un peu plus dure que le royaume uni. Enfin, un homme accepte de nous prêter sa grange pour la nuit. Il vient même à revenir une heure après afin de nous proposer douches et nourriture.

Le lendemain, nous avions une grosse route à suivre sur plus de cinquante kilomètres. Décidé à ne pas l’emprunter, nous l’évitons en prenant des petits chemins et route parallèles dans les montagnes. Quel beau moment se fut à traverser les ruisseaux, à évoluer dans la nature en étant entouré de fjords resplendissants, à suivre les rivages de ce dernier sur de petits sentiers perdus. Nous atteignons vers 19 h un petit hameau du nom de Frete construit en bout d’un fjord à moitié gelé et entouré de montagnes enneigées. Nous sonnons à une maison et voila que Lillian et Reineirt, un couple de retraiter, nous font rentrer dans leur maison et nous installe dans une grande chambre avec lits et douches. Tout de suite après, ils reviennent avec le journal du jour où nous avons été paru. Cool la célébrité ! Ils nous invitèrent à manger.

En Norvège, les repas sont bien différents de ceux de la France ; Pratiquement à chaque repas, l’on sort du frigo toutes sortes d’accompagnements telle que du fromage, du saumon, des harengs ou de la confiture, que l’on mange avec des tartines de pains accompagné par moment d’un morceau de viande d’élan ou de daim. Et ne jamais oublier à la fin du repas de remercier nos hotes par un « Takk for matten », qui veut dire tout simplement « Merci pour la nourriture ».

C’est donc avec délectation que nous mangeons notre premier repas norvégien en compagnie de Lillian et Reineirt.

Après une bonne nuit et un bon breakfast le lendemain, nous voila repartis. Au programme, rejoindre le village de Skare dont la route pour y aller zigzague sur un bord de montagne. Problème, la route contient plusieurs tunnels dont quelque un long de plus de huit kilomètres. Nous trouvons une ancienne route fermée à la circulation sur lequel il est très agréable de marcher sans craindre pour ses miches. Un nouveau fjord nous apparaît du haut de la montagne, scintillant de mille feux, il semblait s’étirer sans fin dans la vallée au fur et à mesure que l’on avançait. Nous ne croisons presque personnes aujourd’hui, mise à part quelques chèvres et leurs petits, tout juste sortis du ventre de leurs mères.

Le soir, arrivé à Skare, un petit village entouré d’immenses montagnes, c’est Lars, un chauffeur routier habitant dans une belle maison à proximité d’une ferme, qui nous reçoit. Il nous installe dans sa grange, sur du bon foin.

Durant la journée du lendemain, nous suivons la route serpentant à travers la vallée. Au fur et à mesure que nous montions en altitude, la neige et les lacs gelés nous apparaissaient.

En début d’après midi, nous commençons à redescendre et une fois en bas de la vallée, nous nous rendons compte que la réserve naturelle que nous voulions traverser pendant quelques jours était interdite d’accès, cela dut à des conditions climatiques assez rude ( tempête de neige). Apparemment, deux semaines avant, deux jeunes Français s’étaient perdus au milieu de la montagne et avais péris.

Pas le choix donc, il va falloir marcher sur la grande route suivant le fjord pendant quelques jours. C’est un peu le problème en Norvège, lorsque l’on veut se rendre quelque part, il y a toujours soit un fjord soit une grosse montagnes pour nous barrer la route. En voiture sa peut aller je pense mais à pied c’est tout autre chose !

Nous marchons donc près de deux heures en passant devant d’impressionnantes cascades assez réputées apparemment. C’est cela qui est marrant par moment dans notre mode de vie, on passe devant des monuments, richesses ou curiosités naturelles sans vraiment l’avoir planifié alors que certaines personnes font des détours de plusieurs centaines de kilomètres pour les voir.

La rencontre de se soir n’a vraiment pas manqué d’originalité : Alors que nous sonnions à une porte de maisons de village, voila que l’on nous invite à rentrer à l’intérieur et à prendre une place à table alors que les propriétaires recevaient des invités. Nous avons donc mangé avec eux un plat absolument « pantagruélique », mais l’ambiance était quand même un peu bizarre, en effet on avais l’impression d’avoir été invité un jeudi soir pour un dîner de con (Pour les anglophone qui traduisent, voir le film «Le dîner de con ») Ils parlaient entre eux soit norvégien soit polonais et ne nous adressais la parole qu’assez rarement. Ils nous ont même pris en photos. Mais bon, nous mangions un bon repas et si il fallait le payer au prix de quelques moqueries et bien s’était pas grave ! Au milieu du dîner, ils nous annoncent que ils ne pourront pas nous loger et que après avoir mangé il fallait que l’on parte.

C’est donc vers 21 h que nous nous retrouvons dehors, l’estomac plein, en ayant pas très bien compris se qui venait de se passer. Nous avons nommé se type d’accueil «  Entrez-mangez-sortez ».

Nous sonnons quelques kilomètres plus loin à une ferme et un jeune fermier et sa copine nous prête leur « Cabane à bringues », c’est-à-dire une belle maisonnette en rondins et toit végétal dont l’intérieur respirait les nombreuses soirées qu’ils avaient put faire depuis sa construction.

Les trois jours suivants se sont fait à marcher sur la grosse route, à croiser les voitures roulant assez vite, à traverser des tunnels, bref pas forcément bien cool. Mais se genre de moments assez dure ne nous font que mieux apprécier les rencontres du soir. Une particulièrement nous a touché : Alors que nous nous éloignons d’un village sur ces hauteurs afin d’y trouver une personnes pouvant nous loger, nous demandons à Kari, une femme adorable, possédant sa propre affaire de plantes aromatiques et médicine. Etant encore occupé à travailler dans sa serre, elle nous installe dans une chambre de sa maison et nous montre les douches et la cuisine en nous disant de faire comme chez nous. Deux heures après, elle revient chez elle en compagnie de son amie Dunn qui était venu pour l’aider quelques jours. Nous passons avec elles une très bonne soirée, les sujets de conversation allant de notre voyage, de la Norvège, de la construction ossature bois et madriers dont Dunn était une spécialiste, ou encore de sa profession de jardinière.

Le lendemain matin, après un bon petit déjeuné nous faisons nos adieux et reprenons notre route de bitume.

Nous arrivons le soir à Eidjford, village assez sympathique car il marquait la fin du fjord, donc de la grosse route. La prochaine étape était la ville de Geilo situé à environ trois ou quatre jours de marche. Se trouvait entre Eidjford et Geilo, un grand plateau en altitude dont chaque personne que l’on a croisée nous a dit que c’était impraticable car une grosse tempête de neige sévissait. Têtu comme des mules, on a quand même pris la décision d’y aller.

Mais il nous fallait nous ravitailler avant car nos réserves de bouffe étaient presque finies. En arrivant prés des deux supermarchés, nous découvrons qu’ils venaient de fermer tout deux il y avait quelques minutes ; Et évidement demain c’était férié.

Mais rappelez vous en Ecosse, il nous était arrivé un peu la même chose dans les highlands, et la solution à cela avait été de fouiller dans les «  Poubelles » ou plutôt les invendus du magasin. Et à côté d’un des deux supermarchés était disposé une grosse benne en métal. La, pas le choix il fallait expérimenter le «  Poubelle inside », c’est-à-dire rentrer dans la benne en question, armé de sa lampe frontale et de quelques sacs plastiques.

Pour chaque chose que l’on doit se partager, François et moi utilisons la fameuse technique du « pierre papier ciseau », il en va de même pour savoir celui qui va devoir plonger dans la benne !

Après un match très serré en 3 manches, François l’emporte de peu et cinq minutes après, me voila à l’intérieur de cette boite de métal, telle un spéléologue à la recherche de trésors enfouis. Comme la température extérieure était assez froide le jour et la nuit, le problème de conservation n’était pas prioritaire, à priori tous se qu’ils jetaient dans cette benne, s’étaient un peu comme si il remettait les produits au frigo. 10 min après la fouille, François m’aide à sortir de mon sanctuaire. Résultats : 10 poulets aux épices prés cuits avec emballage plastique! Plus une quantité monstre de bananes en parfait état.

Après un petit goûté qui nous a révélé que les poulets étaient très bon (Enfin au début car après en avoir mangé un chacun, il devenait difficile de l’apprécier), nous décidons dans garder trois  pour la traversé du plateau. Pas très randonneur cette nouvelle nourriture mais bon s’est pas comme si on avait eu le choix.

Le soir, nous trouvons l’hospitalité chez une famille très gentille, qui a bien voulus nous prêter leur maisonnette en rondins dont ils s’en servaient pour y fabriquer leur propre bière. Nous avons même eu droit à une dégustation !

Le lendemain matin, après encore des recommandations de la part de la famille comme quoi il était très dangereux de s’aventurer sur le plateau, nous partons quand même, nous et nos trois poulets.

Durant la matinée, nous suivons une petite route montant progressivement la montagne. La neige devenait de plus en plus présente au fur et à mesure que nous prenions des dénivelés mais tout allait bien. Vers le début d’aprèm nous arrivons sur le plateau. La route principale était recouverte de neige mais apparemment les chasses neige faisaient des aller retour afin que les voitures puissent passer. Le vent et la neige étaient présent et soufflaient en rafales mais on pouvait avancer. Au bout de quelques heures, nous croisons sur la route un bungalow qui, après vérifications, était ouvert, chauffé et en plus il y avait de l’eau. Ni une ni deux nous décidons d’y loger pour la nuit car les rafales dehors se faisaient de plus en plus forte et on ne savait pas forcément si on pouvait trouver quelques choses d’aussi parfait plus loin.

La soirée fut belle, à grignoter un bout de poulet en regardant un film sur notre petit ordinateur et s’endormir au simple son du vent glissant contre les parois de notre abri.

On est le premier mai aujourd’hui, depuis l’age de mes 8 ans, chaque année, avec mes deux sœurs Julie et Céline, nous avions comme tradition de ramasser du muguet dans la forêt et de le vendre ensuite au bourg de notre village….C’est fou comme par moment la nostalgie peut vous prendre… on pense à des petits moments simple comme celui là et on finis par se rendre compte que c’était les plus beaux et les plus importants de notre vie…

Au petit matin, c’est le grand ciel bleu mais le temps de plier nos sacs, le vent et la neige on fait leur apparition. La matinée fut très dure, à essayer de marcher sur la route enneigé et gelé, en tombant et en se relevant toute les cinq minutes et à lutter contre le sens du vent qui n’en faisait qu’à sa tête. En milieu de journée, épuisé et affamé, nous trouvons un hôtel fermé recouvert sous deux mètres de neige. Derrière celui-ci se trouvait deux grosses sortes de motoneige-camion montés sur chenilles. Et devinez quoi ? C’était ouvert !!

Gelé, mais à l’abri du vent glacial, nous mangeons donc notre moitié de poulet dans cet engin.

C’était vraiment un moment géniale cette pause de midi.

Mais toute bonne chose a une fin et il fallait repartir. La température semblait chuter de plus en plus, il devait faire aux alentours de -15 degré je pense ; Mais lorsque l’on marche, le corps semble s’autoréguler et le froid ne se fait pas forcément ressentir (mise à part lorsque l’on s’arrête bien sur).

Nous croisons à un moment sur le bord de la route, des traîneaux et des chiens attendant dans la neige le départ du convoi. C’est cela qu’il nous fallait en fait !

Nous commençons à redescendre le plateau, mais toujours aucune trace de maisons occupées.

Nous marchons encore. 35 kms, 40 kms…A 43 kilomètres, épuisé et vaincus par le vent, nous trouvons une sorte de petite maison en pierre servant d’étable aux animaux en été. Il faisait un froid d’enfer mais bon, on va faire confiance aux duvets. Nous mangeons un peu et nous nous glissons dans notre sarcophage de chaleur. Si il y a bien un petit bonheur de la vie que François et moi apprécions beaucoup c’est bien se moment : le froid est partout autour de nous mise à part à l’intérieur de nos duvets où la chaleur du corps a tôt fait de les réchauffer. On se sent alors comme dans un petit cocon, tout vulnérable mais au chaud.

La nuit fut vraiment glaciale, si bien que au petit matin, même le cuir des chaussures avait été durci par le gel.

En sortant de notre maison de pierre, nous constatons qu’il y avait neigé bien quinze centimètres durant la nuit.

La journée fut rapide, arrivé en milieu d’aprèm à Geilo, nous faisons les courses à notre première grande surface (Kiwi) et par bonheur, trouvons une piste cyclable menant à la prochaine destination ; Celle-ci passait par une montagne en suivant le rivage d’une rivière.

Sur le chemin pour y aller, nous demandons l’hospitalité à Steine, un fermier, qui nous installe dans une de ces granges et nous donne accès par la suite à des bonnes douches chaude.

Voila pour la première partie de la Norvège ; Ce nouveau pays aux paysages fabuleux et histoires de légendes chargées nous dévoile de jour en jour ces surprises, ces rencontres inopinées.

L’accueil des gens s’est révélé au premier abord assez froid mais une fois certaines barrières dépassées avec eux, cela devient tout autre chose. 

Nous vous disons à toutes et à tous à bientôt pour de nouvelles aventures.

 

Jérôme

 

Norvege

Petit fjord deviendra grand

Norvege

Route campagnarde au milieu d’une vallée

Norvege

Fjord sous la brume, en haut d’une montagne

Norvege

Les pigeons voyageurs ou encore  » Brev due » en Norvégien

Norvege

Vieille route passant le long d’un flanc de montagne

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Des petits hameaux de temps en temps font leur apparition le long des fjords

Norvege

Toujours la vieille route fermé à la circulation, suivant le rivage

Norvege

Fin d’un fjord, début d’un nouveau quelques kilomètres plus loin

Norvege

Trois jours à marcher sur cette grosse route, et une grande partie sous le mauvais temps

Norvege

Mais après la pluie vient le beau temps

Norvege

Les distances pour passer de l’autre côté d’un fjord en voiture sont tellement importantes qu’il a été mis en place des systèmes de navettes de bateau

Norvege

Notre petit bungalow au milieu du plateau enneigé qui nous a servit d’abri pour la nuit

Norvege

Seule et unique couleur durant cette traversé du plateau : Du blanc et encore du blanc

Norvege

Pause de midi à l’abri de la tempête dans la remorque de cet engin

2 réflexions au sujet de « Partie 1 – Premiers pas en terres Scandinave »

  1. Bonjour François

    A la lecture de vos notes, je perçois que tout va pour le mieux et que tu te portes bien, c’est super,..
    Votre site est bien et il permet de partager quelques portions de votre aventure avec intérêt.

    Bonne poursuite …
    Que les vents de l’aventure vous portent favorablement vers le cap Nord avec de belles rencontres et de belles émotions.

    Au plaisir, cordialement

    Nicolas

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