Quelques jours à marcher le long de belles routes de campagne
La Slovénie est très connue pour sa production de miel. Les ruches se trouvent de partout, meme dans des bus
La chaleur est désormais bien moins importante qu’en Croatie
La grange à foin du pays. Très fonctionelle
Le paysage est au larges forets et collines
J’arrive à Ljubljana où je vais y rester finalement près de trois semaines
Je rencontre Miha par le site couchsurfing, qui devient par la suite un véritable ami.
La ville de Ljubljana est vraiment belle, pas trop étendue et pleine d’une architecture interessante.
Miha me présente ces amis au fur et à mesure des jours qui passent
Nous nous rendons à un festival pour trois jours
Cuisine au feu
Il n’y a pas de limite pour les recettes
Miha, étant professeur de slackline, m’apprend ce formidable sport.
Je passe plusieurs jours avec Labrini, une grec vivant depuis huit ans en Slovénie
Et puis ma soeur Céline arrive enfin de France ! pleine d’énergie pour les dix jours de marche que l’on prévoit de faire ensemble
Je lui apprends les rudiments de la slackline
Un peu plus dur à deux !
La dernière soirée chez Miha
Nous passons les derniers moments à Ljubljana avant de commencer la marche
Nous prenons la direction de Bled, un village au pied des montagnes du Triglav
Les soirs sont le temps de bons repas auprès du feu
Une vrai pro du chappatis !
Les portions de routes asphaltées en pleine canicule ne sont pas faciles au début
Et ça marche, meme avec de belles ampoules !
Nous campons à coté de cette rivière, où un banc de glaise au milieu des eaux fait notre bonheur
On arrive enfin à Bled, horriblement touristique mais restant agréable à visiter
Deux voyageurs suisses qui nous offrent de bons pansements pour les ampoules de Céline
Le parc national du Triglav !
Ecriture de la journée de marche
Nous prenons enfin les chemins pour les montagnes
La pluie faisant des siennes, nous plantons la tente sous une vieille grange découverte dans les bois
Et comble de luxure : Des bonbons + l’épisode 2 de la saison 7 de game of throne ! Grands enfants ou petits adultes ?
Et nous commençont la longue et très longue montée
Les paysages calcaires se dessinent au fur et à mesure des dénivellés grimpés
Quelques chamoix le long des pentes rocheuses
Les orages tournent autour de nous de façon bien menaçante
Nous atteignons le refuge, après 1300 mètres de dénivellé positif ! Bravo soeurette !
Elle ne tarde pas à sombrer dans le sommeil après le repas
Nous poursuivons notre marche à travers le massif
Il n’y a aucune source d’eau et les odieux refuges vendent la bouteille à 4, 5 euros !
De bien suprenantes découvertes par moment
La journée est longue en montées et descentes sur des sol de pierriers glissants qui épuisent rapidement.
De belles apparitions
On rencontre peter, un tchèque marchant depuis un mois seul. Nous campons ensemble près d’un lac
Nous redescendons tranquilement.
Un peu d’harmonica lors des pauses
La deuxième partie du massif est bien plus facile et épargnée des autres randonneurs
La dernière nuit dans les montagnes du Triglav
De curieux batiments en pierres, peut etre un ancien monastère
Et c’est la longue redescente jusqu’à la vallée
Un bon goulash en guise de récompense !
Nous marchons une journée dans la vallée afin de rejoindre le village de Bovec.
Après s’etre fait déloger à onze heure du soir par un imbécile de ranger, nous dormons à la belle étoile deux kilomètres plus loin, cette fois bien cachés…
C’est l’heure de la séparation !
Céline part en stop jusqu’à Udine en Italie, afin de prendre son car pour la France
Et j’arrive le lendemain à la frontière ! La France n’est plus très loin désormais… Moins de mille kilomètres
Les fins de journées donnent aux paysages des couleurs fantastiques
Je dors dans une petite cabane de pêcheur près du lac Kerkini. Des dizaines d’espèces d’oiseaux de toutes tailles vivent autour de celui-ci
Une nuit bien froide mais au sec de l’humidité matinale
Le nord de la Grêce a vraiment du charme
Alors que je marche en pleine campagne je rencontre cette équipe d’airsoft qui m’invite à joue quelques parties avec eux
J’arrive à la ville de Thessalonique où je reste deux semaines
Je retrouve la mer
Je passe ces deux semaines en compagnie de Maria et Pantelis
La tour blanche, une ancienne prison devenue maintenant l’emblème de la ville
Pantelis et Maria, encore merci pour tous ces moments partagés
Je fais ensuite une pause dans ma marche et me rends en train à Athènes afin de retrouver ma maraine qui y vit ainsi que ma famille venu de france pour célèbrer noël avec moi
Ma maraine Anne-lucie vivant en grêce depuis de nombreuses années en compagnie de son mari et de ses jeunes enfants
Je retrouve Artemis !
Et ma famille arrive enfin pour une semaine
Nous partons pour quelques jours dans le Péloponèse, à visiter de nombreux lieux
La famille Gazelle !
Une fois ma famille partit je reste encore une semaine afin de retrouve Barbara, une voyageuse rencontrée lors de ma traversée de l’estonie
Etant donné qu’elle travaille dans des camps et squats de réfugiés, elle me fait découvrir tout cela
Puis viens le temps de reprendre la marche de Thessalonique
La neige et le froid ne tardent pas à me tomber dessus
Mon troisième hiver sous la tente… Heureusement que c’est le dernier hahaha !
Je passe par des pistes et petites routes toutes enneigées
Une nuit à -12 degrés. Les températures remontent progressivement heureusement
Ces petits monuments sont placés le long des routes afin de commémorer les accidentés de la route
Pas mal de vent sur les hauteurs
Les petits villages de montagnes
La chose positive est que les voitures se font presque absente des routes de montagnes
« You shall not pass »
Des crottes de loups !
Bivouacs hivernaux
Des paysages splendides le soir et le tout dans une belle solitude
Impossible de me lasser des pâtes-oignons-ail-cube or-blue cheese-beurre
Les petites églises le long des routes sont vaiment parfaites pour passer mes pauses à l’abri du vent et de la neige
Je rencontre le prêtre Nikanor qui m’invite à dormir chez lui et à m’offrir une soirée en compagnie de tous les jeunes du village
La neige revient et ne s’arrête pas pendant presque trois jours d’affillés
J’évite de dormir dans ma tente humide du matin au soir, je me débrouille pour trouver chaque soir un abri en dur. Cette nuit c’est au sec dans cet abri à foin
Je traverse de nombreux villages sous la neige
Un abri de béton pour une nuit
Une grange déserte pour une autre
Voulant prendre un raccourci je galère dans 80 centimètres de neige horrible pendant plus de sept heures. Le tout pour faire cinq kilomètres !
J’arrive totalent exténué a un petit village où je rencontre le maire qui m’emmène passer la nuit dans une salle communale
Ce gentil maire m’ammène deux gros radiateurs et une énorme part de gateau que sa mère a préparé
Les routes déblayées ne sont pas nombreuses et je n’ai pas trop le choix quand à la direction à prendre
Je rencontre Siergios, qui m’invite à passer une nuit au chaud dans sa maison
Le beau temps arrive enfin
La neige n’est aucunement un obstacle pour les chevaux
J’arrive sur un large plateau à 1400 mètres
La plupart des petites routes sont fermées à cause de l’enneigement
Je pars pour une vingtaine de kilomètres sur cette piste traversant le parc national de Pindos
Malgré le vent glacial, je ne suis absolument pas déçu des paysages
C’est l’histoire d’un lièvre (reconnaissable grace à ces empeintes en forme de Y)
Et d’un loup qui à faim !
Un bon festin ! Je retrouve ce genre de reste presque tout les kilomètres, entourée d’une multitudes d’empreintes de loups
Je trouve même une patte de lèvre à moitié mangée !
Un immense lac se trouve au sud du parc national
Je retrouve des pistes bien plus faciles et basses
La région de Zagoria, sauvage et très célèbres pour ces nombreux villages authentiques et les gorges de Vikos
Pâtes aux sardines ! Jour de fête !
Je redescend progressivement vers une petite ville
Mon nouveau gadget : Un smartphone d’une grande capacité de batterie avec un gps particulièrement génial
Un père et son fils me rajoutent un centimètre de métal sur la ferrure de mon bâton de marche
De quoi tenir pour les trois derniers milliers de kilomètres jusqu’en France !
J’arrive fatigué et puant (surtout puant!) à la ville de Ioannina
Je reste trois jours dans une collocation de charmantes étudiantes vraiment adorables
Je repars bien reposé et propre pour les derniers jours de marche en Grêce
Et à cinq kilomètres se trouve la bordure de l’Albanie, ainsi qu’une belle surprise qui arrive… To be continued…
Je rencontre par hasard un éco-lieu : Merope. Plusieurs volontaires sont présent et je reste plusieurs jours en leur compagnie
Un voyageur colombien étant artiste tatoueur me fait mon premier tatouage
Un beau souvenir
Je leur fait découvrir des recettes inédites au feu de bois
Je reprends la route à travers la Bulgarie du nord.
Il commence à faire un peu froid la nuit. Je me remet à faire de gros feux
Des enfants m »ayant tenu compagnie durant ma pause de midi dans un village
Les célèbres rochers de Belogradchik, sous la brume épaisse.
Un peu mois de charettes qu’en Roumanie. Le nouveau substitut mécanique est plutôt sympa
J’évite la route de bitume en marchant à travers de sacrés jolis endroits
J’arrive à la capitale Sofia où je reste une dizaine de jours chez Kirilka
Je la suis à travers de beaux concerts
Kirilka travaillant dans une garderie d’enfants je l’acompagne une journée afin de leur apprendre à faire des cabanes et un feu
J’ai trouvé mon sosi.
Ma chambre
Shamsi, un drole de bébé chat qui se faufilait à l’intérieur de mon sac de couchage chaque nuit
La maison de Kirilka, presque au centre ville
Je rencontre ensuite Anita qui m’héberge deux jours en compagnie de pleins d’autres couchsurfeur
Je crois que c’est ma seule photo de la ville de Sofia^^
Je reste pour finir deux jours chez Sevim, à cuisiner des Banitsa et à laisser se constuire une belle amitié
Ayant enfin reçu mon sac de couchage d’hiver, je reprends la route. Il gèle toute les nuits
Trois jours de marche sur les routes en ayant été malade comme un chien, j’arrive enfin devant le massif des montagnes Rila
Les célèbres lacs de Rila
La neige se fait de plus présente au fur et à mesure que je monte
C’est un vrai bonheur de se retrouver seul au milieu de toute cette beauté
Mais l’avancée dans la neige devient extrèmement lente et épuisante, surtout sur les crêtes rocheuses
Etant arrivé dans la nuit à ce refuge la veille je pars bien reposé au moins
Je reste une demi journée et une nuit dans ce petit abri à 2400 mètres. Le lac gelé est un vrai terrain de glissades
Des trous ayant été creusé par des chamoix je suppose. Le sang à côté provient du fait que la glace coupante a probablement blessé légèrement les pattes de l’animal
Le lendemain est un véritable calvaire, je peine comme pas possible à avancer dans la neige
Je prend la décision de rejoindre la vallé et d’arrêter ma marche dans les montagnes. Cela devenait vraiment trop dangereux
Je retrouve l’automne en bas
Le monastère de Rila, vraiment de toute beauté
Je passe les derniers jours à marcher dans des campagnes bien authentiques
18 kilomètres dans une vallée sur une route horrible que je ne pouvais pas éviter. Quatre heures de marche vraiment dures
Une femme abandonne en voiture son chien juste devant moi. Je crois que je lui aurais explosé son part brise si je n’avais pas été aussi long à comprendre se qu’elle faisait vraiment.
L’ancienne coutume et persistante de Bulgarie : Afficher les personnes décédés par ce genre d’affiches collés sur la porte des maisons ou en plein milieu des places publiques. Bien glauque
Une famille vivant dans une sorte de bidonville sur une colline m’invite à passer la nuit chez eux.
Je rencontre Peter, employé ferrovaire. Il m’offre son déjeuner en plus d’un joyeux moment
Les petites vieilles regroupant en de gros tas l’herbe coupée qui sera ensuite mise à sêcher sur de longs piquets en bois
Les églises orthodoxes sont à peu près les seules constructions en bon état
C’est un vrai plaisir de traverser les petits villages
De partout dans les villages les poules sont en liberté
Maria m’offre un litre de lait et un kilo de fromage. Tout venant de sa vache bien sûr !
Les maisons sont parfois vraiment surprenantes
Je commence ma première crête
Bien sûr il n’y a pas de sentier et après deux heures de grimpette à travers la forêt j’arrive en haut fatigué mais tellement heureux.
Il n’y a aucun randonneurs, les seules personnes que j’apperçoit de temps en temps sont les cueilleurs de myrtilles
Mon repas de la pause
Arrivé au sommet du Pikuj, à 1408m, je rencontre cette grande famille qui m’invite à un gros pique-nique.
Les méthodes ancestrales afin de faire sêcher l’herbes
L’Ukraine semble avoir conserver un attrait tout particulier pour les véhicules datant de l’ère soviétique
Les églises se repèrent de très loin à cause de leurs sommets brillants
Le cheval est très utilisé, principalement pour transporter les troncs d’arbres
Je me pose une journée entière dans une forêt afin de profiter plus calmement de la nature
Une belle cuillère en hêtre. J’ai dut utiliser une braise incandescente afin de la creuser
Je pars pour trois jours sur de nouvelles crêtes
Il vente beaucoup mais le paysage n’est que beauté
Un groupe d’ukrainiennes que je rencontre au milieu de la montagne
Je plante la tente sous des vents très puissants. Un orage pendant la nuit me permit de dormir à peine trois heures
Le lendemain un brouillard à couper au couteau m’accompagne pratiquement toute la journée
Mais en fin de journée la magie opère lorsque la brume disparait lentement
De retour en bas, la pluie transforme les chemins en de vraies piscines. Mes chaussures baignent dans l’eau
Il n’y a pas de supermarché, seulement de petites épiceries-comptoir qui ne sont pas toujours très reconnaissables
On se croirait à Disneyland par moment
Les habitations sont toutes uniques des unes des autres
Yurii, un joyeux pépé, m’invite pour quelques bières. Presque à jeun et bien fatigué de ma journée je repars complétement bourré sur la route.
Presque une famille sur trois semble posséder ce genre de camions quasiments indestructibles
La pluie…
La Lada 1200, la voiture majoritaire à presque 80% dans n’importe quel village
Par moment je ne comprend pas trop comment certaines maisons peuvent encore tenir debout. La magie slave sans doute !
La plus grosse épicerie de ce village
Méthode pour traverser une grosse rivière
Après trois heures de grimpe à travers une montagne sans sentier j’arrive sur la crête. Les trois jours qui suivront seront les plus beaux et les plus immersifs depuis ma reprise il y a deux mois
Des chevaux en semi-liberté vagabondent autour de moi; L’instant est féerique tant je ne m’y attendais pas
Des randonneurs polonais croisés quelques heures avant m’offrent deux de leurs rations désydratées qu’ils n’avaient pas utilisé. J’en avais bien besoin car je n’avais quasiment pas de nourriture pour ces jours dans la montagne.
Un berger et son troupeau me réveillent au petit matin
C’est partit pour trois jours de marche à travers cette immensité sauvage
Pour seules personnes croisées dans la journée : Une famille avec leur fille de six ans faisant le même parcours que moi mais à raison de cinq à huit kilomètres par jour maximum, cela afin de ne pas fatiguer leur enfant. J’en reste vraiment impressionné de leur belle démarche d’éducation.
L’impression de solitude et de liberté dépasse de loin celle que j’ai pu ressentir ces derniers mois
J’arrive à trouver un peu de bois mort afin de me faire chauffer ma soupe de nouilles
Je redescend en direction du village de Kvasy pour le ravitaillement avant la dernière ligne droite de la traversée des carpates d’Ukraine
Mais avant toute chose un gros décrassage de moi et mes affaires dans une rivière. Il y en avait sacrément besoin, même les mouches commençaient à m’éviter !
Je repars à l’assault des montagnes chargé de cinq jours de bouffe; Je rencontre un groupe de professeurs qui m’invitèrent à leur bivouac pour une bonne soirée à chanter et à manger.
Un hammeau d’altitude
L’hoverla, le point culminant de l’Ukraine à 2061 mètres.
Certains touristes préfèrent prendre les moyens motorisés afin de s’approcher de la montagne
En compagnie d’un Ukrainien rencontré au matin nous arrivons au sommet. J’ai droit à une interview grace à un journaliste ayant entendu parlé de mon projet de marche
Je reste marché deux jours avec Volodia, un jeune ukrainien vraiment sympa
Couture de mon écusson de l’Ukraine
Nous dormons au sommet de l’hoverla
Nous atteignons le Pip Ivan (Prince Ivan en français), un ancien observatoire à l’abandon. Il est le bâtiment le plus haut perché du pays
Je passe ma dernière soirée avec Volodia
Le coucher de soleil est tout bonnement fantastique
Adieu Volodia, bon courage pour la suite
Et je retrouve ma solitude
J’arrive sur la crête délimitant l’Ukraine et la Roumanie. Le poste frontière étant à plus de 70 kilomètres je décide de passer en clandestin en roumanie. Le problème est qu’il y a de nombreuses patrouilles de militaires circulant de partout.
Aller c’est parti ! Passera ? Passera pas ? We will see !
Impossible de passer à pied entre les deux frontières (finlandaise et russe); Je dois donc faire du stop pour 500 mètres !
Enfin j’arrive à Svetlogorsk, mon premier village russe
Cadeau d’un habitant alors que je plantais ma tente près d’un lac
Andrei m’invite finalement chez lui pour manger et dormir
Il fait une chaleur d’enfer
Après deux jours de marche dans la forêt et ayant été assaillis par les taons à chaque seconde, je m’écroule dans ma tente
De belles églises
Des bonnes pâtes le soir
Les maisons sont vraiment originales
Je tombe dans la forêt sur deux joyeux russes qui m’invitent à venir faire la fête près d’un lac avec tout leurs amis
Un sacré moment que je ne suis pas près d’oublier
Les petites routes de campagne sont très agréables
Une magnifique rencontre de cette mère et ce fils
Cadeau de la babouchka :
« Lorsque tu n’auras plus de force pour continuer, lorsque le doute t’envahiras, tu n’auras qu’à monter sur ce petit poney afin qu’il te porte »
L’apéro en russie
Et j’arrive à la mer Baltique; Je suis émue car c’est la première fois que je la voyais
Repas, sauna, nuit et petit déjeuner chez cette famille
Campement sur une plage de nudistes
Je passe la soirée avec des campeurs ne parlant pas un mot d’anglais
Arrivée dans la mythique ville de St Petersbourg
Il me faut deux jours pour entrer dans la ville, je réussis même à trouver un lieu ou dormir près d’une plage déserte
Le retour dans une grande ville est assez fatiguant
L’incroyable cathédrale Saint sauveur
Deux voyageurs français faisant la route du transibérien
Le fameux palais et musée de l’ermitage
Kommounalka d’artiste où Sveta et Evgenii m’ont hébergé pendant six jours
Sveta et Evgenii, deux amoureux d’une gentillesse sans fin
Croisière que Marat m’a offert sur la Neva
Marat, un homme très interressant
Un sous marin amarré au centre de la ville
Démonstration de divers engins militaire
Soirée avec Tania le long des canaux de la ville
La cathédrale Kazansky
Place du palais
Des dizaines de mariages en ce samedi rien que sur cette rive près de la Neva
Bourgeois en balade
Maria m’héberge trois jours chez elle
Un restaurant hors de prix
Des constructions de sables
La forteresse Pierre-et-Paul
Adieux Maria, encore merci pour tous !
On the road again ! sous la pluie…
Il me faut deux jours supplémentaire afin de quitter la ville
Sans doute la plus belle église orthodoxe que j’ai vue en Russie !
Toujours ces belles petites datchas
aaaaaaa les merveilleux biscuits russe… Saveurs inoubliables !
Deux jours passés avec ces deux frères qui me firent vivre des moments innoubliables
Chasse au champignons à la russe cela donne : Viré en 4×4 dans des chemins impossibles, traces d’ours fraîches dans la forêt, vipères, et panne de batterie à trente kilomètres de la maisons ! Le tout étant accompagné de deux magnifiques russes
Miam miam
Principe de fixation des poteaux électriques
Vente de quelques légumes le long des maisons
En guise de supermarché, plutôt des épiceries à la demande
Nouveau passe temps : La balle de contact
Il ne me reste que quelques jours avant l’expiration de mon visa
Arrivé à Tornio en Finlande, à l’endroit où j’avais interrompus ma marche huit mois auparavant
Il fait encore bien froid
Ma nouvelle tente
Il n’y a personne sur les routes, je marche seul du matin au soir
L’avantage c’est que je peux planter ma tente un peu où je le désire !
La douche dans se lac a été vraiment froide
Etant en période de dégèle, les forêts deviennent de véritables marécages (à cause de la neige qui fond) et il est impossible de marcher ou encore planter la tente à l’intérieur.
Une famille m’héberge quelques jours dans leur maison isolée
Nous prenons le sauna le soir
Un chien magnifique
Merci encore !
Mais il faut reprendre la route
La Finlande et ses couleurs…
L’intérieur de mon palace
Je recharge mes appareils électroniques à l’aide de se petit panneau solaire
Cette famille et amis m’invite pour manger avec eux un bon repas de poissons fraîchement pêchés et fumés
Des bonnes « Makara «
Une autre invitation pour un bon repas au chaud
Des pistes de terre désertes
Une soudain tombée de neige me tombe dessus
Élan séché sur son lit de lamelles de fromage et pains aux céréales
Des lacs encore à moitié gelés
Le bitume n’est pas très marrant mais passer par la forêt n’est vraiment pas possible en cette période
Je rencontre les propriétaires d’un camping sur une île dans le lac Oulu. Ils me proposent ensuite de les aider une dizaine de jours. J’accepte
Je pars pêcher avec Reino
Bonne pioche !
Je travaille essentiellement à rénover l’intérieur de ce beau sauna
La lac Oulu
Je reprend la marche après cette pause; Il fait beau et chaud désormais
Beaucoup de serpents le long des pistes
C’est interminable par moment
La solitude me fait un bien fou
Je trouve une bibliothèque afin d’avoir une connexion internet
La tambouille au réchaud à bois
Un abri pour la nuit alors qu’il pleuvait des cordes dehors
J’arrive à Kuopio
Je trouve mon woofing
Beaucoup de jardinage
Il faut nourrir les bêtes chaque jour
L’écorce de bouleau est très utilisé afin de réaliser toute sortes de choses magnifiques
L’intérieur de Konttila
La vie de fermier me plait bien
De sympathiques moutons
Et des poules un peu idiotes
Lara est une volontaire allemande
Nous pouvons apercevoir la ferme de Konttila au centre la forêt
Nous partons tous ensemble faire une course de bateau à voile
Des pti déj parfait
Baignade le soir
Et dégustations de nouvelles recettes aux dinners
Les chiens de Keijo
Nous passons dans le journal local
Lara s’en va, je resterais encore une semaine
Une bonne équipe
Je passe beaucoup de temps avec Keijo
Une journée canoë dans une réserve naturel
Une réunion de musiciens folk un jour
Nous passons de nombreuses soirées assis ici, à manger des crêpes ou à faire griller des saucisses
Un skype avec mes amis de France
Rencontre à Kuopio de deux voyageurs passionnés de cirque
Un cadeau pour mon départ
Et c’est repartit
Mon beau réchaud à bois
j’essaye de dormir le plus loin possible des routes
Des étranges phénomènes sur certains arbre : Ils sont tous recouvert de toiles
Peut être des vers à soie
Et retrouvaille avec François à Jyväskylä. Il vivait ici depuis déjà plusieurs mois
Notre belle amitié est toujours là
Je rencontre ensuite un homme m’invitant à l’aider quelques jours dans son cottage près d’un lac
L’équipe au complet
Pêche nocturne
La route, toujours la route…
Je me baigne désormais presque tous les jours
Et bien sûr je prend la mauvaise route
Perdu au milieu de tous ces lacs; Il faut que je trouve quelqu’un qui puisse me faire traverser ce lac
Cette famille m’aide à trouver une solution
Et je rencontre finalement ce gentil groupe d’amis qui m’invite à passer la nuit dans leur cottage construit sur une minuscule île
Leur cottage
Ils m’emmènent sur leur barque à moteur le lendemain afin de me déposer cinq kilomètres plus loin
La terre promise !
Framboises sauvages
Les lacs sont pour moi des bénédictions, surtout en fin de journée après avoir bien transpiré
Un sauna sur l’eau !
Saleté de moustiques ! J’en aurais subis de tes piqûres dans ma vie…
Les pauses de midi se font sous ma moustiquaires. Manger ou être mangé…
Le lac Saimaa
L’écorce de bouleau, parfait allume feu
Arrivé à Sumatra, situé près de la frontière russe
Le début de la Kungsleden, un chemin de randonnée de suède de près de 500 kilomètres passant à travers la Laponie
Ayant trouvé pas mal de viandes dans les poubelles des supermarchés juste avant, nous mangeons presque que ça les premiers jours !
Beaucoup de cabines de secours de la sorte sont présentes et nous permettent de dormir sans avoir à planter les tentes
Les moustiques sont une vraie plaie, en zoomant bien sur la photo vous pouvez les apercevoir autour de François
Toujours à cause des moustiques, nous marchons habillé en gore-tex et étant coiffé d’un filet de tête
Un voyageur allemand du nom de Thomas. Nous marcherons en sa compagnie quelques jours
C’est toujours génial de découvrir un nouveau marcheur
Première traversée en barque
Afin d’éviter une navette pour traverser le lac, étant payante de surcoit, nous décidons de le contourner par un détour de plus de cinquante kilomètres
De belles découvertes par moment
Ayant trouvé une barque abandonnée, nous essayons en vain de traverser le lac avec. Le vent est décidément vraiment trop fort
Pas de sentier
Une belle rencontre d’une famille vivant reculé dans ce coin depuis de nombreuses années
Les paysages sont grandioses
Les rennes font leurs apparitions
Ils sont absolument partout
Les baies arctiques ou « Lakka », des sortes de framboises jaunes au gout très particulier et coûtant une véritable fortune en magasins. Poussant dans les marécages, nous en trouvons régulièrement et faisons de véritables festins à chaque fois !
L’art de trouver un coin parfait pour le bivouac
De la bonne purée au menu se soir, il faudra attendre pour un dessert par contre !
Bloqué par ce lac, nous sommes contraint d’attendre jusqu’au lendemain afin qu’un bateau à moteur vienne nous chercher pour nous mener au village d’à côté. Une véritable tempête de moustiques fait rage toute la nuit
Le bateau arrive le lendemain
Rencontre de plusieurs randonneurs dont Robert, un Allemand voyageur avec qui nous marcherons pendant quelques semaines
Robert se déplace en Europe avec ce « vélo »; Il s’arrête de temps en temps et part marcher quelques temps pour reprendre ensuite son engin afin de bouger dans un autre pays
Thomas nous rejoint pour deux jours
Un sacré équipe
Les bivouacs prennent une toute autre ambiance désormais. Chacun partage ses connaissances et son histoire avec les autres
Les pauses sont vraiment dures avec ses satanés moustiques
Le système des barques libres de Suède : Trois bateaux sont présents et le but est qu’il faut toujours qu’il en reste au moins un sur chacune des deux rives. Deux scénarios sont possibles : le premier c’est que l’on trouve deux barques en arrivant, dans ce cas là rien à faire il suffit alors de traverser avec une des deux. Mais pour les moins chanceux arrive le moment où l’on tombe que sur une barque ; Dans ce cas là nous sommes obligés de faire un premier aller jusqu’à l’autre rive, prendre en remorque une deuxième barque sur la notre puis retourner à la première rive afin d’y déposer la deuxième barque. Et refaire l’aller ensuite ! Trois traversées donc !
Bart, un voyageur néerlandais rencontré près du parc de Sarek
Moi et François terminons de ramener les barques (deux aller-retour de six kilomètres…) vers une heure du matin. Heureusement que le soleil ne se couche pas en été
Le parc national de Sarek, surement un des plus beaux endroits qu’il m’a été permit de voir de toute ma vie…
Aucun mot, aucune description, aucune photo pour refléter cette beauté naturelle
Les troupes de rennes se rencontres très souvent
Le campement du soir, chacun sa tente, chacun son feu. Le temps nous appartient
De belles rencontres sur le chemin
Une nouvelle traversée
Robert connait la nature mieux que personne. Il nous mène dans des coins hors des sentiers battus.
Les soirées sont des moments de bonheur dont l’ont savoure chaque seconde
Nous apprenons à reconnaître les champignons qui agrémentent nos pâtes et riz
La tambouille, de grands moments
Il fallait juste y penser
Nous décidons de gravir le Kebnekaise, la plus haute montagne de Suède
C’est partit
Cinq heures de rudes efforts sont nécessaire afin d’atteindre le sommet
La neige est présente
Et nous arrivons au sommet ! Une plateforme de neige très étroite dont le moindre faux pas nous entraînera dans une chute sans fin
La vue est dégagée, les montagnes voisines nous apparaissent dans toute leurs splendeurs
Nous campons sur un pierrier, en face du Kebnekaise
Nous redescendons par un passage en free style
De retour dans la vallée
Des boites d’haricots à la tomate, un vrai régal après tous ces jours de régime
Nous somme obligés de traverser de grands passages de rivières avec un fort courant
Je trouve une solution assez simple afin d’éviter de se mouiller les pieds : Les serrer dans de nombreux sacs plastiques
Et nous arrivons à la fin de la Kungsleden dans le village de Abisko
Nous étudions de nouvelles cartes pour la suite du parcours en Laponie. Et oui il reste près de mille kilomètres avant d’atteindre le cap nord
Mon tee short n’a pas trop aimé ces huit derniers mois de marche
Nous partons avec une bonne dizaine de jours de nourriture. Les premiers jours vont être dures !
Rencontre de Patrick, un français très sympas qui nous donne de bons conseils
Nous sommes de nouveau seul et bien
L’immensité
Sondre est un norvégien pas comme les autres : Il a vingt ans et à décidé de rejoindre le cap nord depuis le point le plus au sud de son pays. Cela fais près de sept mois qu’il marche seul dans les montagnes. Nous atteindrons notre but commun ensemble après un mois de marche en sa compagnie
Son sac est vraiment impressionnant
Il nous apprend de nombreuses choses sur la nature qu’il semble si bien connaitre et aimer
Quel délice…
Ce personnage nous marquera à tous les deux. Sa personnalité est des plus uniques…
Un endroit assez intéressant en ce petit îlot : Le point de jonction des frontières Finlandaises, Norvègiennes et Suédoises
Sondre nous apprend à attraper les poissons à mains nues. Pas si facile !
Les aliments prennent un tout autre goût en montagnes…
L’été se termine, Nous avons environ trois heures de nuit par jour désormais
Nous suivons une des plus célèbres rivière à saumons du coin
Découverte d’une petite cabane de rondins qui nous accueillera pour la nuit
Un cabane de hobbits !
Framboises sauvages
Les montagnes se finissent. Nous entrons dans le Finmark, la région de Norvège du nord la plus déserte et plate
Il n’y personne sur les routes
« Straight on »
Kautokeino, le village culturel des Samis
Une bonne récup dans un supermarché
Un mariage sami
Nous savourons nos derniers 300 kilomètres
Le cap nord est annoncé, c’est la dernière ligne droite…
Crêpes party !
La route du cap nord. Une petite semaine de marche nous attends pour l’atteindre, que nous devrons refaire en sens inverse par la suite
Avec des apparitions très surprenantes parfois
L’ambiance est aux grands espaces
Un renne mort que l’on retrouvera mangé entièrement lors du retour.
Un tunnel de presque sept kilomètres passant sous la mer du nord
Un très mauvais moment pour moi qui peinait à respirer à l’intérieur
Les paysages semblent tirés d’un conte de fée
Et nous y sommes enfin !! 5461 kilomètres depuis mon petit village de Francheville…
Une lettre de l’un de nos amis qui nous avait fait promettre de ne pas l’ouvrir avant d’être arrivée.
Sondre part quelques heures après rejoindre son chez lui en auto-stop. Nous ne t’oublierons jamais mon ami
Nous campons à côté l’infrastructure pour touristes. Les vents sont très violents et couche nos tentes à terre
François part pour la Finlande le jour d’après. Je me retrouve seul pour la première fois depuis dix mois…
Je rencontre un suisse parlant français faisant un tour d’Europe en van.
Et je réalise que mon tour de l’Europe à pied ne fait en fait que commencer…
Je découvre le mode de vie solitaire
Je décide d’atteindre la mer Baltique avant de revenir en France pour faire une pause de quelques mois. Environ 950 kilomètres de marche m’attendent. J’ai l’intention de les faire en moins d’un mois.
Rencontre d’un voyageur français voyageant sans argent
Mais lui se déplace en auto-stop !
Un gros brochet
Les nuits sont de plus en plus froide et moins duvet de plus en plus crade
J’entre en Finlande
Un voyageur en vélo se rendant au cap nord
Le lac d’Inari
L’intérieur de ma tente
Une piste de près de deux cent kilomètres sans s’arrêter. Cinq jours de marche sans croiser personne…
Le froid devient vraiment intense, les pauses sont très dures
Après être arrivé à Tornio, près de la mer baltique, je rentre en France… Me voilà à Paris, attendant mon train qui me ramènera à Lyon. Je repart dans sept mois a l’endroit même où je me suis arrêté.
Nous avons du mal à croire que nous sommes enfin en Scandinavie…
Les premières fjords
Nous évitons les routes en passant par les petites montagnes
Après que l’on soit passé dans le journal local, ce couple nous reconnait puis nous invite à passer la nuit chez eux
Nous suivons une vieille route abandonnée
Les paysages sont fantastiques
Les maisons en ossature bois sont très typiques de la Scandinavie
Afin de passer d’un fjord à l’autre sans avoir à faire le gros détour qu’il implique, des bateaux navettes sont mis en place
Une jolie petite cabane de pierre qui nous a servie pour la pause de midi
En plein sur un immense plateau enneigé, nous trouvons se petit abri servant normalement pour les conducteurs de voitures étant bloqués par la neige
Tout est blanc et désert
Pause de midi dans un véhicule assez marrant
Nuit dans une bergerie abandonné. La température qui descends dans les -15 degrés cette nuit
Encore et toujours nos récoltes dans les poubelles des supermarchés
Un peu lourd tous ces yaourts quand même !
Le printemps met du temps à arriver
Deux norvégiens nous ayant hébergé et invité à leurs tables alors que nous n’avions aucune langues en commun
Nuit sous le perron de cette maison d’été déserte
Plateau repas offert par des hôtes
Après nous avoir hébergé, ce couple appelle un de leur ami journaliste afin qu’il fasse un article sur notre voyage
Le tremplin olympique de Lillehammer
Cuisson de quelques poissons offert la veille
Route barré pour cause de neige abondante; Nous y allons quand même
Premier obstacle : Une rivière assez profonde. Pas le choix il faut sauter
François tombe malheureusement dans l’eau glacé juste après cette photo
Ration réduite : Galette, oignons, muesli et fromage norvégien
Marécages de neige ayant différentes profondeur assez traîtres
Marcher dans cette neige de fin avril est un vrai calvaire. Nous nous enfonçons jusqu’à la cuisse à chaque pas
Nous ouvrons la marche à tour de rôle pendant plusieurs heures
Enfin, nous trouvons une cabane de chasseur à demi ensevelie sous la neige. Nous dégageons l’entrée avec notre casserole en inox
Un poêle à bois nous fourni une chaleur très appréciée
Les affaires sêchent
Nous sommes épuisés comme jamais après cette folle journée. Mais nous ne sommes pas encore tirés d’affaire…
Le lendemain matin en nous réveillant. Tout n’est que blanc
Naufragé dans cette océan de neige
On s’organise dans la journée : François s’occupe de faire des réserves d’eau tandis que je fabrique deux paires de raquettes à l’aide des quelques planches et outils que l’on trouve dans cette cabane
La nuit tombe après cette journée à l’abri. Nous décidons de tout faire pour partir le lendemain matin
Les raquettes sont prêtes
Espérons que cela tienne
Le matin du lendemain c’est le départ
Tous les cent mètres nous devons enlever les dix kilos de neige qui se colle à nos raquettes. C’est épuisant
Quelques réparations sont à faire au cours de cette journée
Et nous marchons pendant des heures
Le sourire est vraiment juste pour la photo
Nous descendons la vallée, cela devient de plus en plus escarpé
Je perd une de mes raquettes dans cette rivière…
Et enfin, après presque dix heures sans s’arrêter nous trouvons un chemin qui nous conduira vingt kilomètres plus loin à la civilisation
Des hameaux d’été
La route est là !
Un norvégien du nom de Rolf nous héberge pendant près de trois semaines après notre mésaventure
Passionné d’animaux, de jardinage et de vie simple, nous ne nous ennuyons jamais avec lui
Ses deux enfants
La cuisine en sa compagnie est un vrai moment de plaisir
Notre chambre
Et nous reprenons la route
Nous quittons le bitume pour nous aventurer dans la nature
Nourriture pour quelques jours d’autonomie : Semoule, pain, fromage, huile, raisins secs et porridge
Un norvégien nous ayant offert une belle canne à pêche, nous nous essayons à ce sport
Seul au milieu de cette immensité
Des rivières à traverser
Nous rencontrons par moment quelques refuges de ce genre
Nous revenons faire un saut dans un village pour le ravitaillement
Puis pour acheter de nouvelles chaussures
Après 3000 kilomètres de marche
Une rencontre accepte de garder nos chaussures pour le souvenir
Le début de la Kungsleden sutra
Heureusement nous trouvons des refuges gratuits chaques soirs
Nous entrons en Suède pour quelques jours; Les poubelles des supermarché sont impressionnantes !
Quinze kilos de fromages qui constituerons nos repas pour le reste de la semaine
Puis quelques pots de bonbons…
Seul, sans carte et balisage. Heureusement nous le retrouvons en fin de journée
Nous tombons sur un refuge fermé par un gros cadenas. A l’aide d’un clous nous réussissons à le crocheter
Rencontre improbable au tout milieu de la forêt : Un norvégien marchant depuis le cap nord et se rendant au point le plus au sud de la norvège
Nous reprenons la route pour une dizaine de jours afin d’atteindre le début de la Kungsleden, un chemin de randonnée de près de 600 kilomètres
Un homme nous héberge pendant trois jours et nous invite à une pêche nocturne
Il est minuit en Scandinavie, le soleil ne se couche plus à partir du printemps
Un homme de 81 ans traversant la Scandinavie à vélo
Le cap nord n’est plus très loin
Les moustiques nous force à monter nos tentes même lorsque nous sommes abrités
Nos maisons
Nous entrons en Suède
Le début de la Kungsleden, un chemin de randonnée de suède de près de 500 kilomètres passant à travers la Laponie
Nous sommes obligés de dormir dans le sas d’entrée du ferry afin d’attendre Thomas qui semble s’être perdu en Ecosse sans téléphone
Nous sommes enfin réunis pour un mois de marche tous ensemble
L’Ecosse nous livre dés les premiers kilomètres de beaux et paisibles moments
Nous faisons connaître à Thomas notre mode de vie de nomade à travers l’hospitalité
Le vent souffle très fort
Les pauses de midi deviennent un véritable moment de cuisine
Petite pause de midi dans cette cabane de jardin alors qu’il pleuvait des cordes dehors
Et nous trouvons refuge le soir dans un garage d’une gentille famille
Un très joli château
J’écris le récit de nos dernières aventures pour le blog
Le vent et la pluie rend difficile la marche
Par moment nous sommes obligés de prendre de grosses et pénibles routes
Quel bonheur d’être en hauteur et subir la force des éléments contre soit
Merci l’océan !
Nous suivons la côte jusqu’à Glasgow
On nous invite par moment à dormir dans le salon
Marche le long des plages
Le cheddar ! Notre péché mignon
Nuit dans une grande caravane
Burgers maison
Un vrai délice
La rencontre très touchante de Barbara
Arrivée à Glasgow
Une famille de riches nous loge dans leur cave à charbon
Et c’est partit pour une semaine de marche à travers les montagnes sur la west highland way
Nuit chez une famille de fermiers dans leur grange
La vache highland cattle, parente des bisons
Le célèbre loch Lomond
Campement avec ces trois amis d’enfance étant venu dormir en nature avec l’enfant de l’un d’eux
Le sentier nous fait passer par des coins magnifiques
Le loch Lomond prend de belles couleurs lorsque le soleil part se coucher
Campement le soir sur les rives
Les montagnes enneigées s’aperçoivent au loin
L’épicerie étant fermée nous fouillons les poubelles de celle-ci et trouvons de beaux trésors
Une nuit au chaud dans cet abri de gare resté ouvert
Des moutons bien gras
Il n’y personne sur le sentier depuis le début
Nuit vraiment glaciale dans ce préau d’une vieille école désafectée
Attente auprès d’un gros feu avant d’aller nous glisser en catimini dans un algeco chauffé d’une station de ski
Thomas est aux anges car les dernières nuits avaient été pour lui très dures au niveau du froid
Partis très tôt nous assistons au levé de soleil au milieu de cette vallée
Rencontre d’une charmante polonaise dans ce petit village
On nous accueille dans une église protestante
Il fait dans les zéro degrés mais cela ne nous empêche pas de faire la sieste au soleil
Le Ben Nevis, le point culminant des îles britanniques avec ses 1344 mètres d’altitude
La fin de la west highland way dans le beau village de Fort William
Rencontre de quelques jeunes écossais qui nous invitent à faire la tournée des pubs
Deux français ayant passé des vacances très mouvementées dans les montagnes d’écosse
Encore des français !
Invités pour une fête-conférence dans une église, nous y passons finalement la nuit
Nous marchons désormais sur la great glen way
Nuit dans une laverie de port
La forêt enchantée
Une bonne équipe
Et nous arrivons enfin devant le très célèbre loch Ness
Aucune trace du monstre bien sûr
Saucisses au feu
Arrivée à Inverness où nous faisons un énorme goûter pour fêter cela
Concert de musiques traditionnelles après qu’une rencontre nous les eu conseillé
Artiste nous ayant logé deux jours dans sa cabane de jardin ayant été transformé en salle de musique
Un grand merci à Mc Donald : Pour le prix d’une petite frite voici les prestations offertes : Lavage de corps, lessives, internet, chopage de pq, rechargement des batteries, repos au chaud, possibilité de récupérer les commandes non finis des clients
La neige arrive
Nuit en ville sous ce porte à faux d’un batiment
Inverness sous la neige
Et Thomas nous quitte après ce mois passé en sa compagnie
Nous continuons à être hébergés
Une communauté nous propose de rester pour quelques semaines chez eux. Nous acceptons
Notre logement
Nous prenons les repas ensemble deux fois par semaine
Etant bricoleur tout les deux, nous les aidons à faire différentes tâches
Concert dans la communauté unique au monde de Findhorn
Cette caravane est utilisé par un psychologue afin d’y recevoir ces clients
Woodhead community nous ne t’oublierons jamais
Nous passons dans une autre communauté situé à dix kilomètres : New bold
Le poulailler transportable
Nous logeons la première semaine dans cette caravane
De nombreux autres volontaires sont avec nous
Un couple vivant dans cette yourte
Candice, une française vraiment géniale
Les otaries au bord des plages
La communauté de Newbold
Des étranges rencontres parfois
Deux nouveaux petits cochons
Nous travaillons ensemble toute la journée
La maison de l’un des volontaires
Lorenzo, le maître jardinier
Elio, un italien d’une très belle personnalité
Un sauna artisanale
Le fauteuil végétal
Nous chantons tous les matins dans cette pièce
Cadeau pour Lorenzo « J’ai fini, donne moi un autre travail »
La verrière
Presque tout la communauté de Newbold réunit
Et nous reprenons la marche…
Les soirées sont belles et animées
Nous cherchons désormais un moyen de nous rendre en Norvège; Nous allons tenter de faire du bateau stop. Ici un habitant nous conseille différents ports
Des petites tempêtes de sables
Premier port : raté personne ne veut de nous
Deuxième port : Encore personne ne veut de nous
Aaaa les biscuits digestive
Nous entrons à Fraserburgh
Un écossais nous héberge dans sa cabane de jardin plus de quatre jours
Merci John !!
Et enfin un capitaine accepte de nous embarquer avec lui pour la Norvège.
Nous étalons nos sacs de couchage au milieu de la salle
Les premiers pas en terre irlandaise
Et nos premières rencontres dans ce nouveau pays.
Nuit dans la paille
Petit déjeuner au lit s’il vous plait
Un château que l’on a visité
Des vieilles routes de campagne
Hébergé par une famille pas comme les autres
La famille de Vivian et Chris
Et les rencontres s’enchaînent de nouveau
Kilkenny
Nous retrouvons beaucoup de ce genre de cimetières
Une nuit dans les vestiaires d’un stade de football
Il fait froid au matin
Les devantures des boutiques sont toutes uniques en leurs genres
Les ruines de châteaux sont partout
Les pauses de midi ne sont pas forcément confortables parfois lorsqu’il pleut
Une famille d’hongrois nous accueillent d’une façon formidable
Et les enfants nous accompagnent sur deux cents mètres le lendemain
Les nuits dans les granges sont mes préférées
Encore un magnifique accueil de la part de cette famille d’irlandais
Le full irish breakfast, le petit déjeuner des anciens qu’ils continuent à manger
Paul et Isabelle, qui nous hébergent à Galways et nous donne le contact de l’un de leur ami vivant sur une île dans le connemara
Le connemara c’est tout droit
Sur l’île de Padraig..
Trois jours passés en compagnie de cet irlandais pure souche
Nos belles chambres
La maison de Padraig
Et nous partons afin d’attaquer les montagnes du connemara à travers la west highland way
Pas facile de faire cuire nos pâtes, absolument tout est humide
Les lacs du connemara
L’ambiance sauvage est incroyable; Il n’y a absolument personne.
L’impression d’immensité est dure à recréer par une photo
L’Irlande est dans cette image. Tout simplement
Un paysan nous loge dans sa grange au milieu de la vallée
La tourbe, le combustible principal du pays que l’on extrait dans les tourbières
Les paysages dans lesquels nous marchons sont splendides
Les marécages ainsi que la pluie sont au rendez-vous parfois
Nuit dans une cabane à outil d’une famille de fermiers
On grimpe les montagnes enneigées
La célèbre montagne Saint Patrick, que l’on décide finalement de gravir
Ce n’est pas facile
Mais nous y arrivons, le vent et la neige sont d’une telle force que nous ne pouvons même pas nous entendre parler
Saint Patrick
Nuit très sympathique dans ce tas de tôles
Au nord de Newport, les monts réaparaissent
Une rencontre qui, après nous avoir hébergé une nuit, nous fait visiter les environs
Beaucoup de pluie et de vent
Nuit dans une jolie caravane après une quarantaine de kilomètres marchés
On vient même à nous servir deux beaux plateaux repas
Les routes désertes sont tellement agréables
Nous suivons la Sligo way durant quelques jours
On nous héberges de temps à autre à l’intérieur des maisons
Les pauses de midi
Nuit dans un garage, nos hôtes ne s’intéressant pas du tout à nous
Nous dormons avec les moutons
Une famille d’artistes nous ayant logé dans leur grand manoir
L’Irlande du nord et l’Irlande du sud…Une grande histoire!
Londonderry
Ayant marché tard la nuit, nous trouvons refuge sous une avancée de toit d’hôpital
Tonte de cheveux après qu’un hôte nous ai prêté sa tondeuse
La vie n’est pas rose tout les jours, mais nous nous plaignons pas
Portrush
Une ruine de châteaux que nous réussissons à visiter illégalement
Sous un château
The giant causeway ou encore la chaussée des Géants
Un empilement de plus de 40 000 pierres hexagonales suite à une éruption ayant eu lieu il y a plusieurs milliers d’années. Mais bien sur les irlandais ont leur propre version sous forme de légende
Le sentier côtier sous le brouillard et la pluie
Les falaises et récifs sont impressionnants
Pas le choix nous devons marcher 90 kilomètres en deux jours si nous voulons arriver à temps pour prendre notre ferry
Nous nous perdons dans la forêt pour enfin tomber sur un camps de vacance fermé pour l’hiver
Nous arrivons à Larne totalement épuisés, mais heureux comme jamais !
Le grand départ ce 12 novembre 2012. Les amis et la famille sont là pour nous dire au revoir
C’est partit
Le plus dur restera encore et toujours le premier pas. Le reste est facile : Il suffit de recommencer quelques millions de fois…
Cuisson de notre première tambouille avec notre beau réchaud à bois fait maison
Chemins de GR
Visite surprise aux grands parents de François trois jours plus tard
Marcher en automne
Nuit dans la grange de sœur Marie jean, une ermite religieuse vivant dans une petite maison de pierre dans la forêt
Notre première rencontre nous touche beaucoup
La paille nous offre de belles nuits au sec
Le rocher St Vincent
Panoramique de l’auvergne
Nos balises des circuits GR (grande randonnée) de la France
Nous laissons l’adresse de notre blog aux personnes qui nous hébergent
Nous ne dormons que très rarement sous la tente, l’hospitalité nous ayant prouvé que l’on pouvait aisément s’en passer
Nuit rigolote dans la stabulation d’un fermier; Deux gros bœufs en dessous ainsi qu’un sympathique coq nain ayant absolument manifester sa joie de vivre à cinq heures du matin
Pas beaucoup de beau temps
Cadeau offert à une hôte pour halloween
Christiane et Catherine
De belles forêts
Famille d’hollandais nous ayant hébergé pour la nuit
Les fermiers nous proposent souvent leurs granges
Nous avons par moment le privilège d’être logé à l’intérieur
Bertrand, une personne que l’on est pas près d’oublier
Noël approche
Nuit assez dure sous cet abri. La neige et le vent nous ont contraint à devoir partir à six heure du matin.
Parfois nous sommes obligés de marcher sur des grosses routes
« réveillon » entre nous dans une grange abandonnée. Je repars pour Lyon en train le lendemain à cause de la maladie de ma mère.
Village de « Loche »
Quelques chevreuils dans un champ
Un duo d’artisans m’offre un déjeuné
Eolienne du 19ème siècle
Nuit dans une étable
Cathédrale de Tour
Les champs de vignes débutent
Willy,un de mes hôtes, m’emmène assister à son cour de karaté
Willy et Bety
Des personnes m’invitent à boire un coup alors que je passais près d’une caverne
Une jeune famille m’héberge et m’invite à manger la meilleure tartiflette de mon voyage
Village de Lavardin
Les habitations troglodytes de ce village
Village de Lavardin
En passant devant une maison une famille m’invite à boire le thé puis m’offre ensuite le gite
L’automne 2012 s’annoncera très humide en Indre-et-Loire, tel que nous montre ce village inondé par sa rivière.
Deux familles paysannes m’invitent pour la nuit
La forêt de Perseigne m’offre un agréable moment de marche
Lors des moments de pause, les sardines, le pain, les fruits et le chocolat, sont des aliments idéaux à tirer du sac.
En visitant l’église de La Ferté Bernard, Michael s’intéresse à moi et m’invite avec sa copine Stéphanie à manger une fondue chez eux
Un beau hasard au niveau des conseils; Ils ont fait plusieurs voyages en Irlande et Norvège (les prochains pays de l’itinéraire)
Cathédrale du Mans
Encore des passages inondés au milieu d’une ville
Quelque fois, les chemins ressemblent à des rivières
En demandant de l’eau une famille m’invite à passer la veille de noël en leur compagnie
Et le lendemain une autre famille m’invite à manger le dessert de leur repas de noël
La forêt de Perseigne
Encore une nuit passée chez une merveilleuse famille habitant dans une clairière située dans la forêt.
Passage difficile sous une autoroute inondée
Un groupe de jeunes s’intéresse à moi a Alençon
Sculture réalisée par l’un des mes hotes a Alençon
Sculture réalisée par l’un des mes hotes a Alençon
Les chemins balisés pour aller au mont Saint Michaël sont inondés
Un groupe de retraités passioné de randonées m’invite pour la nuit
Village de Bagnole de l’orme
Eglise de Bagnole de l’orme
Il n’y a pas que des pigeons voyageurs en France
Au loin, l’océan
Je n’irais donc pas planter ma tente ici !
Port de Carentan
Sainte Mère l’église
On peut voir à son clocher un parachutiste anglais, symbole du débarquement.
Hangar où je retrouve Jérôme après ces trois semaines de marche seul
Retrouvaille sur la borne zéro du débarquement
Direction Cherbourg !
Nos dernières rencontres française : Benoit et Odile. Nous les garderons dans nos cœurs pour toujours.